Dernier match de trêve internationale et dernière conférence de presse d’avant-match donnée par Fernando Santos. Le sélectionneur portugais n’a plus que deux choses en tête : gagner face à l’Azerbaïdjan et reprendre la première la place du groupe, détenue par la Serbie.
Une défaite du Portugal est-elle synonyme de barrage ?
« La qualification se jouera jusqu’à la dernière journée. […] Le match décisif sera certainement celui entre les deux leaders du groupe, comme contre la suisse en 2018. Ce sera une finale et nous devrons aborder les quatre prochains matchs comme ci c’était des finales. »
L’Azerbaïdjan : une équipe solide à ne pas mépriser
« Dans les matchs qu’ils ont joués (l’Azerbaïdjan), ils ne perdent jamais par plus d’un but d’écart et j’espère que demain ce sera différent. Le match dans lequel ils ont eu le plus de mal à contrôler le jeu et à attaquer l’adversaire, c’était face à nous. »
« Tout est collectif, il n’y a pas de secteurs, c’est un processus collectif avant tout. C’est vrai que dernièrement on n’a pas répondu aux attentes dans ce domaine, il y a des espaces libres. Cette fois, nous ne sommes pas bien rentrés dans le match, beaucoup de pertes de balle ont donné lieu à une contre-attaque. Ensuite on a mieux cadré l’adversaire. Pour ceux qui veulent contrôler le jeu, on ne peut pas laisser l’adversaire croire qu’il peut attaquer et réagir à la perte de balle. Nous avons toujours été très serein concernant cet aspect. »
Un besoin de sang frais dans l’effectif
« J’avais besoin que les joueurs récupèrent (face à l’Irlande). Beaucoup de joueurs ne savent même pas quelle heure il est. C’était normal d’en reposer certains lors du match amical. J’ai confiance en tout le monde et puis stratégiquement c’était important d’avoir un plan de jeu. Nous avons un peu changé le positionnement tactique de l’équipe. Contre l’Irlande, nous avons dû le faire en seconde période. »
