Ce mardi, l’équipe du Portugal lancera son Euro 2024 face à la Tchéquie. Diffusée sur TF1, cette rencontre offrira l’occasion à un large public qui n’aurait pas zieuté les réseaux sociaux ou suivi les matchs de préparation de la Seleção de découvrir son nouveau maillot domicile. Alors avant que cette nouvelle pièce n’entre définitivement dans l’histoire du Portugal à l’Euro, (re)découvrez les maillots rouges arborés par l’équipe lusitanienne lors de chaque Championnat d’Europe au XXIe siècle.
Note de la rédaction : 10/10
Un morceau d’histoire. Déjà parce qu’il est forcément lié au fabuleux parcours de la Seleção jusqu’à cette terrible défaite en finale contre la Grèce. Ensuite parce que n’importe quel amateur de foot serait capable, d’un simple coup d’œil, de le situer dans le temps. Tout simplement mythique.
Note de la rédaction : 6/10
Celui-ci est simple. Peut-être un poil trop… fade. La couleur rouge pétant détonne totalement de celui du Mondial 2006, foncé, presque bordeaux. Du mythe au quelconque, il n’y a que quatre ans. Même la forme du col laisse à désirer.
Note de la rédaction : 8/10
On n’ira pas jusqu’à dire qu’il est mythique, mais on pourrait facilement le reconnaître entre mille parce qu’il renvoie forcément aux performances XXL de Cristiano Ronaldo. Il est sobre comme celui de 2008, mais beaucoup plus agréable au regard. Col rond et vert. C’est totalement validé.
Note de la rédaction : 8/10
Celui-ci est superbe. Un joli maillot rouge avec le haut des manches légèrement plus foncé. Quand on le voit, on pense à Renato, Cristiano, Eder… que de beaux souvenirs. Le seul (gros) reproche que l’on peut faire à Nike, c’est qu’ils ne se sont vraiment pas foulé au niveau du design puisque la France, l’Angleterre ou encore les Pays-Bas portaient exactement le même.
Note de la rédaction 9/10
La couleur, les bandes sur les côtés, le col façon polo, le nom et les numéros en doré, et même le short vert… Nike a frappé un grand coup. Contrairement à ses prédécesseurs, il n’est pas associé à un moment particulier. Il se contente d’être lui, et c’est sûrement sa plus grande qualité. Peut-être aurait-il pu atteindre la note de 10 si la compétition du Portugal n’avait pas été une immense déception.