Le Paris Saint-Germain est en finale de la Ligue des champions. Vainqueurs en demi-finale aller de la Ligue des champions face à Arsenal (0-1), les hommes de Luis Enrique se sont aussi imposés au Parc des Princes (2-1). Titulaire dans l’entrejeu parisien, Vitinha a affiché un niveau en deçà de ses copains du milieu de terrain et la presse française n’a pas manqué de le souligner. Découvrez les notes et les commentaires qu’il a reçus.
L’Équipe (4) : « Il a donné le sentiment que le ballon lui a brûlé les pieds. La plaque tournante habituelle n’a jamais pu être trouvée par les siens. On l’a trop peu vu récupérer des ballons au plus fort du pressing adverse. Il aurait été tout pardonné en inscrivant son penalty, mais même là, le Portugais a tremblé (69e). »
Foot Mercato (4) : « Un cran en-dessous ce soir, après avoir été bon à l’aller. On a retrouvé le Vitinha un poil trop nonchalant, que l’on avait vu au retour face à Aston Villa. Trop de touches de balle (son péché mignon), trop tranquille presque, et surtout pas inspiré dans son pressing, ce qui lui a valu d’être trop facilement éliminé sur les séquences de possession des Gunners et de moins bien protéger sa défense. Pour parachever cette mauvaise prestation, il rate le penalty du 2-0, en tirant trop mollement, alors que Raya avait su partir du bon côté. »
Eurosport (4,5) : « Beaucoup plus en difficulté que ses camarades du milieu, il a pris de plein fouet le pressing d’Arsenal sans arriver à s’en dépêtrer. Mais il a peu à peu sorti la tête de l’eau en seconde période notamment avec un numéro assez fantastique le long de la ligne de but, dommage qu’il ait manqué de soutien (55e). Il rate, en revanche, son penalty (69e) qui manque assez clairement de puissance. En bref… Un petit trou d’air sans conséquence. »
Le Parisien (4,5) : « Le Portugais aura été le milieu de terrain le moins en vue. Au-delà de son pénalty manqué (69e), qu’il place très mal, le numéro 17 a souffert face à Partey et Rice défensivement. Avec le ballon, il doit faire davantage et n’a pas su dicter le tempo de son équipe. Un joli numéro de soliste (57e). »
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