Le sélectionneur portugais a effectué sa conférence de presse d’avant match à la veille de la dernière confrontation du groupe de Ligue des Nations face à l’Espagne.
Le technicien de 67 ans a exprimé son ressenti envers le jeu et l’état de forme de son adversaire ibérique qui s’est dernièrement incliné face à la Suisse (1 – 2). Il a également fait un point sur la disponibilité de chaque élément de son effectif, en déclarant que João Felix est de retour de blessure pour le choc de demain. Enfin, l’ingénieur a réaffirmé que le Portugal est déterminé à accéder au Final Four de la Nations League.
Effectif au complet
« Nous n’avons plus de joueurs qui sont touchés physiquement. On avait un doute sur Danilo qui avait demandé à sortir lors du dernier match, mais heureusement il est disponible. João Felix s’est bien entraîné donc il sera également présent demain. J’ai 25 joueurs à ma disposition, il y en a qui ne joueront pas mais c’est la loi du football. Je ne peux pas tous les mettre sur le terrain, ce n’est pas possible. »
Objectif : Final Four
« Se qualifier pour une phase finale, c’est motivant. Maintenant, de la pression ? Vous pensez qu’on peut ressentir plus de pression que celle qu’on a déjà ? Mes joueurs jouent toujours pour gagner et être des champions. »
Analyse du jeu de l’Espagne
« Je n’ai pas encore vu le match de l’Espagne (face à la Suisse). J’ai seulement observé quelques actions de la rencontre afin de voir s’il y avait des changements stratégiques de leur part, mais comme je n’ai rien vu de cela, nous allons nous concentrer sur nous-mêmes. Tout le monde connaît la Roja, cela fait 20 ans qu’elle joue de la même façon. Ils ont un jeu de possession, de pression et ils réagissent bien à la perte du ballon. Nous n’avons pas à être préoccupés par l’Espagne. »
Habitué à la critique
« Les critiques envers Luis Enrique me font rire car on me critique aussi. La critique existera toujours. Quand l’Espagne gagnait ses matchs et que l’équipe jouait bien, Luis Enrique était le meilleur et lorsqu’il perd un match, il est le pire. Mais ce genre de jugement, cela arrive partout, que ce soit en sélection ou en clubs. »